Le mois passé j'ai pris la décision d'aller rencontrer un gars, ''
mon ange''. Donc, le 20 décembre je suis aller à Montréal remplie d'espoir. Ce jour là je suis aller chez une amie et finalement j'ai couché chez elle, vu que le gars finissait de travailler à minuit. Le lendemain, mon amie partait, je devais alors me trouver une autre place ou aller. Mon ange n'était pas disponible et j'étais trop gêné pour aller rencontrer d'autre personne (Il y en a un qui va se sentir visé.), je suis donc aller rejoindre mon ami proche de Saint-Eustache. J'ai passé deux jours de débauche chez lui... 23 décembre, finalement, j'y vais! Je retourne à Montréal rencontrer celui pour qui je suis aller dans le sud. J'arrive chez lui, après m'être trompé d'adresse une fois. Il y avait un souper avec ses colocs. On a même invité à manger avec eux, mais j'ai refuser car j'avais trop mal au coeur. Ça fesait au moins 4 jours que j'avais mal au coeur et presque pas mangé. On à jasé un peu, mais je ne me sentais pas très bien. Après le souper, nous avons quitté l'appartement pour aller dans un bar assez vivant. On a bu une grosse bière chacun, elle était bien bonne cette bière. Mais encore là, je ne me sentais vraiment pas à l'aise. En voyant mon état, il a décidé de quitter le bar dès qu'on eux fini nos bière. On ces installé sur son lit et on à écouté le film Alien. Je me sentais un peu mieux à ce moment, mais je pensais au moment de de coucher et ça me faisait un peu angoissé. Le film fini, on est fatigué tout les deux, alors on se couche. Fuck... Moi qui avait cru que je ne me sentais pas bien, la c'était attroce... Pas que j'avais peur de lui, au contraire. Il est gentil, doux, très sympatique. Le problème vient vraiment de moi, j'en doutes pas une seconde. Donc, on était couché et je paniquais. Je n'osais pas bougé, je respirais à peine et j'étais dans mon coin, presque sur le point de tomber en bas du lit. Je me suis finalement endormis, au bout d'une demi-heure ou d'une heure, j'en ai aucune idée. Le lendemain matin, le mal de coeur était pas encore parti, donc je n'ai pas déjeuné. Nous somme allé au marché Jean-Talon, c'était amusant de marcher dehors. Je me sentais un peu mieux avec lui, mais c'était loin d'être parfait. Après qu'il eu fait ses achats, on ses quitté. Il devait aller travailler et moi retourner à ma maison. sur le chemin du retour, je me suis mis à pleurer comme ça d'un coup. Et ça continue encore et même en ce moment ou jécris cette histoire...
3 commentaires:
Eh ben. Ton corps a réagi violemment, pour dire le moins...
Je cherche des mots très-doux pour te dire que je pense à toi, mais j'efface les phrases au fur et à mesure.
Et là, ça va? Comment te sens-tu?
Aurais-tu peur du rejet par hasard..?
Il y a quelque chose que tu mentionnes et que je trouve très intéressant: "Le problème vient vraiment de moi, j'en doutes pas une seconde."
Je pense, mais je me trompe peut-être, qu'avant de pouvoir te sentir bien avec quelqu'un, tu dois te sentir bien avec toi-même. En ce sens, effectivement, le plaisir ressenti avec autrui, que ce soit amical, sexuel ou autre, dépend de nous-même autant, sinon plus, que des autres.
Tu peux peut-être faire un petit exercice de réflexion. Avec qui te sens-tu bien? Et pourquoi? Dans quel contexte? Tu mentionnes à quelque part que tu t'en vas dans un party de famille et ça semble te faire plaisir. Pourquoi? Qu'est-ce qui fait qu'avec eux tu te sens bien ou tu as du plaisir?
Identifie ce qui te met à ton aise et recherche ce contexte ou ces qualités dans tes relations avec les autres.
Tu prends ce que tu veux de mes commentaires et tu laisses tomber le reste.
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